Réactivité, défense des intérêts des indépendants et refus de s’aligner sur une politique qui fédère les chaînes d’hôtellerie et de restauration. Tels sont les mots d’ordre des régions CPIH dissidentes qui ont immédiatement organisé des assemblées générales extraordinaires après le vote du conseil confédéral qui a fait basculer la CPIH dans le bastion de l’Umih.Parmi ces régions CPIH dissidentes, l’Île-de-France, la Vienne dont respectivement 100 % et 96 % des adhérents ont choisi de rester dans le GNI. « Il est essentiel d’apporter une alternative dans le paysage syndical. Nous avons notre spécificité en tant qu’indépendants », explique Alain Boutin, membre du conseil d’administration du GNI et ancien président de la CPIH 86 (lire
« D’ici le 15 mai, les statuts des cinq grandes régions GNI seront mis en place », indique Jean-Luc Madec, membre du conseil d’administration du GNI et ancien président de la CPIH Île-de-France (lire