En attaquant des innocents dans des lieux de vie, de convivialité, les attentats du 13 novembre perpétrés à Paris visaient à semer la terreur et à figer le pays dans l’effroi. Une barbarie aveugle qui a ensanglanté une nouvelle fois la capitale en enlevant la vie des nôtres.
Au-delà du drame humain, c’est tout un pan de l’économie qui vacille. La restauration et l’hôtellerie – touchés de plein fouet par ces attaques – constituent les secteurs les plus atteints. Annulations en cascade, report ou annulation de salons… plongent les professionnels parisiens dans le marasme, déjà affectés par les attentats de janvier dont ils commençaient juste à se remettre.
L’impact a été immédiat, avec un écroulement de la fréquentation des hôtels, des restaurants, des cafés (lire "
Difficile de prévoir le retentissement de cette onde de choc dans les prochaines semaines. La COP 21 permettra-t-elle de restaurer la confiance et d’insuffler un vent de dynamisme sur le secteur ? Rien n’est moins sûr.
Face à ce cataclysme, le rôle des syndicats est plus que jamais prépondérant pour défendre les intérêts du secteur et mettre en place des mesures d’urgence. Le GNI s’est ainsi fortement mobilisé (lire "