Enfin ! Le Groupement National des Indépendants, né de la réunion des trois organisations, le Synhorcat, la CPIH et la Fagiht, est désormais en ordre de marche depuis son assemblée constitutive et la nomination de son bureau exécutif le 18 novembre.
Cette date marque le point de départ du grand rassemblement de tous les entrepreneurs indépendants, 26 000 établissements représentant 230 000 salariés.
Désormais, place à l’action ! La première priorité du groupement sera de redonner de la compétitivité aux entreprises pour qu’elles puissent reconstituer leurs marges alors que le pays est en plein marasme économique. Les combats ne vont pas manquer pour le nouveau groupement, comme l’indique Didier Chenet qui vient d’être nommé à la tête du GNI et qui dévoile sa feuille de route (
Le GNI a pour but avant tout de redonner espoir à de nombreuses personnes qui ne croient plus en rien et d’offrir de vrais services, met en avant
Gérard Guy qui a été nommé président délégué du GNI (lire Gérard Guy, président de la CPIH, et nouveau président délégué du GNI). Le GNI permettra une meilleure mutualisation des moyens et permettra aussi de proposer des services plus performants aux adhérents notamment sur le plan juridique. Confrontés régulièrement aux méandres administratifs et fiscaux, les attentes des indépendants sont particulièrement fortes sur ce dernier point.
Reste à mettre en place le GNI au niveau des régions. Ce sont à elles de construire leur propre organisation qui rassembleront les hommes et les femmes sur le terrain autour de valeurs communes. C’est sur cette base que l’on doit s’appuyer pour entrer en action et construire l’avenir sur du concret.