Industrie Hôtelière

A Nice, le «555» s’affiche branché et chic

Après avoir tenu le «Rita’s Bar» pendant 17 ans sur le tumultueux Cours Saleya (revendu en 2000), le Niçois Bernard Caula s’est installé cette fois en plein centre ville, moins touristique, mais plus chic. Il y jette un décor extrêmement contemporain et raffiné pour y servir un choix de cinq entrées de 12 à 14#euro; (gambas rôties et velouté de moules ou cigarettes de chèvre frais et taboulé libanais…), cinq plats de 15 à 24 #euro; (calamars «à la plancha» ou épaule d’agneau grillée…), et cinq desserts de 7 à 8Û#euro; (gratin de figues fraîches enrichi de glace à la cannelle ou tiramisu aux raisins et biscuits «Rose de Reims»…). La carte est renouvelée toutes les six semaines au maximum. Un concept qu’il fait vivre avec une équipe réduite à trois, dont lui-même en salle et le chef Carlos Ferreiro, reconnu pour son expérience à l’hôtel de Paris à Monaco et à la Réserve à Beaulieu-sur-mer. «Après trente ans passés dans le Vieux-Nice, je voulais passer à autre chose !». C’est chose faite et bien faite avec des assiettes joliment composées, une carte des vins riche et variée (de 15 à 48 #euro; la bouteille) et une vraie assurance de qualité et de confort.

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