Industrie Hôtelière

Apprentissage : travailler sur la force de vente

Les représentants d’une vingtaine de branches professionnelles, des chambres consulaires et des organismes gestionnaires de CFA se sont réunis le 19 avril autour de Jean-Louis Borloo, ministre de l’Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale, et de Laurent Hénart, secrétaire d’Etat à l’Insertion professionnelle des jeunes, pour signer l’accord cadre national pour le développement de l’apprentissage. Les signataires de cet accord poursuivent un objectif principal : atteindre 500 000 apprentis en 2009 grâce à une adaptation de l’offre de formation, à une amélioration de la qualité du déroulement des formations et des conditions de vie des apprentis, à l’accès des jeunes personnes handicapées à l’apprentissage. Une série de mesures destinées à moderniser l’apprentissage a été réunie dans la loi de programmation pour la cohésion sociale du 18 janvier 2005 et un crédit d’impôt annuel de 1 600 à 2 200 euros par apprentis a été instauré pour les entreprises. «Nous sommes entrés dans la phase de mobilisation de ceux qui décident de la réussite ou de l’échec de l’apprentissage : les entreprises, les élèves et les parents», a souligné Laurent Hénart. 450 métiers sont proposés, une campagne de communication signée «L’apprentissage a changé, c’est le moment d’y penser !» a été lancée, il est maintenant temps de «raconter les métiers» et

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