Industrie Hôtelière

De l’Apo’Beach à l’Apocalypse

L’Apocalypse a ouvert ses portes à Bastia, il y a 22 ans et elle est toujours là. Certes, pas avec le même propriétaire, puisque le patron des lieux Jean-Luc Hallé n’est en place que depuis trois ans. Il reste que la discothèque bénéficie d’une belle longévité, qui tient en partie au fait que l’établissement se transforme au cours de l’année. Il y a en fait trois clubs en un : l’Apocalypse, l’Apo-Club et l’Apo’Beach. L’Apocalypse, à proprement dit, fonctionne durant la période basse, à partir de début octobre. L’établissement peut accueillir 1 000 personnes et il est ouvert tous les samedis soirs de 23 h à 7 h du matin. La moyenne d’âge tourne autour de 20 ans, et la programmation musicale s’articule surtout autour de la musique électronique.

Durant la basse-saison, l’offre de l’Apocalypse se complète par celle de l’Apo-Club. Il s’agit d’un club qui se situe à l’étage et qui ouvre le vendredi. Sa programmation musicale est radicalement différente, puisqu’elle s’organise autour de la musique des années 70-80. Autre élément de cette offre multi-formes : l’Apo’Beach. L’Apo’ Beach peut être considéré comme la version estivale de l’Apocalypse. En effet, tous les ans, du 20 juin au 15 septembre, l’Apocalyse ferme ses portes et il est remplacé par l’Apo’Beach.

La discothèque prend alors un air d’hacienda, avec ses box en plein air qui font

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