«Depuis la mi-avril, je suis intervenu 5 fois pour des professionnels (4 bars-restaurants et une discothèque) qui étaient menacés de fermeture administrative», indique Jean-Louis Humbert Président des cafetiers et des discothèques de l’UMIH 21. Ces mesures étaient souvent demandées à cause de dépassement d’horaires. «Dans chacun de ces cas, j’ai expliqué au Préfet qu’il vaut mieux qu’ils passent leur Permis d’exploitation, plutôt que d’être fermés. La fermeture n’apporte rien, si ce n’est des difficultés économiques pour l’entreprise. Par contre, le Permis d’exploitation permet de se remémorer les règles. J’ai moi-même suivi cette formation, puisque je souhaite être formateur et je suisétonné de tout ce que j’ai pu apprendre. C’est une formation très professionnelle et qui est parfaitement adaptée aux besoins de nos métiers. J’ai fait valoir aux préfets, que cette formation avait été voulue par les professionnels eux-mêmes. Le Préfet a écouté ces arguments. Il nous a félicité de cette démarche et a accepté le 23 mai de surseoir à une de ces fermetures administratives (de 8 jours) avec en contrepartie l’obligation de passer le Permis d’exploitation.»