Industrie Hôtelière

Nice : Changements au Grand Café des Arts

Situé dans l’enceinte du musée d’art contemporain et juste en face du théâtre depuis sa création voici une quinzaine d’années, ce café-restaurant branché vient de s’offrir un coup de jeunesse. Exit le beau-frère Stéphane Lehyaric en place depuis sept ans, c’est Olivier Boeuf qui reprend l’affaire, seul cette fois à la tête de douze personnes. A 32 ans, ce Niçois diplômé en cuisine du lycée Paul Augier et au parcours exclusivement azuréen (hôtel de Paris à Monaco, hôtel Mirabeau, Métropole Palace, jusqu’au Concorde chez son père Alain Boeuf à Vidauban) a tout révolutionné : du mobilier à la vaisselle en passant par la carte. Dans un décor soft à dominante de blanc, jeux sophistiqués de lumières tamisées (90 places en intérieur et 70 en terrasse) et soirée-jazz le vendredi, Olivier Boeuf instaure un apéritif-tapas à partir de 20 h, avec la possibilité de commander une assiette variée de chaussons à la tomate, ou au thon, beignets à l’oignon ou à l’anchois, pissaladière, charcuterie niçoise, légumes en anchoïade… et par exemple une bouteille de beaujolais pour 15-20 Û, voire la déclinaison d’une seule tapas en plat. Pour le déjeuner, le Grand Café conserve la version brasserie de haut-niveau (ardoise fixe et petite ardoise de 7 suggestions qui changent tous les jours, de 10 à 20 Û) qui laisse la part belle aux risottos et poissons dont la spécialité du méli-mélo en bourride – L’équipe de l’OGC-Nice

Quitter la version mobile