Le mouvement Ethic (Entreprises de taille humaine indépendantes et de croissance) et l’UMIH dénoncent ensemble le péril économique engendré par la circulaire de la direction de la Sécurité sociale sortie cet été portant sur les repas d’affaire. Selon cette circulaire, l’employeur ne pourra intégrer dans ses frais d’entreprise que cinq repas d’affaires par salarié et par mois. Au-delà, ces repas seront considérés comme un avantage en nature et seront réintégrés en complément de salaire, c’est-à-dire avec charges sociales, le montant étant imposable pour le salarié.