► Congé de présence parentale : sécurisation du contrat de travail du preneur du congé – à l’identique du contrat de travail d’une femme enceinte ou en congé de maternité, celui du parent absent (totalement) au titre du congé – ou alternant absence et travail à temps partiel – ne peut être rompu par l’employeur que pour des motifs restreints (uniquement : faute grave ou lourde – impossibilité de maintien du contrat).
► Congé de présence parentale : assouplissement de son renouvellement anticipé – d’une durée maximale de 310 jours ouvrés, avec une prise étalée sur 3 ans, ce congé est susceptible de renouvellement à titre exceptionnel (lorsque la totalité des jours a été consommée avant la fin de la période de 3 ans). Alors que jusqu’à présent ce renouvellement nécessitait l’autorisation du service de contrôle médical de la Sécurité sociale, il n’en va plus de même : le parent demandeur n’est plus obligé de solliciter, obtenir et prouver avoir obtenu cet accord.
► Annonce de la grave maladie d’un enfant (handicap – pathologie chronique avec apprentissage thérapeutique – cancer) : augmentation de la durée du congé légal spécifique – la durée du congé en question passe de 2 à 5 jours ouvrables.
► Assistance à enfant gravement malade ou handicapé : accès au télétravail – en tant que formule facilitant la présence auprès de l’enfant, le télétravail peut être souhaité par certains parents. Dans cette perspective, l’employeur