Industrie Hôtelière

Négocier tout ou presque… avec son banquier

Existe-t-il une règle pour bien négocier avec son banquier ?

Le banquier n’est, après tout, qu’un financier. Et qui dit «gros sous», implique la possibilité de négocier avec lui. Mais il faut négocier malin ! Négocier avec son banquier obéit à une règle simple pour laquelle La Palice aurait pu dire : le client a besoin de l’argent de la banque et la banque celui de son client. Attention, cette évidence n’est pas dénuée d’intérêt, car elle permet de rappeler qu’elle est la base normale d’une relation équilibrée. Encore faut-il que le client connaisse les règles du jeu !

Peut-on négocier les frais ?

C’est parfois la grande braderie dans les frais bancaires. Le flou règne artistiquement sur le prix des services. Les tarifs vont du simple au triple. C’est la raison pour laquelle, il est impératif de questionner son banquier et de s’informer auprès de la concurrence, même s’il n’est pas toujours facile de bien comparer. Parole d’expert : «si vous intéressez réellement votre banquier, n’hésitez pas à marchander».

Y a-t-il des tuyaux qui peuvent rapporter ?

En effet, certains tuyaux peuvent même rapporter gros. Savez-vous que pour fidéliser un client sans histoire, une banque est prête à des sacrifices ? Celui-ci doit négocier lorsqu’il est en position favorable, surtout lorsque sa banque a commis une erreur. Offrir du «donnant-donnant» est aussi une arme très efficace pour réussir sa négociation, par exemple au moment d’acheter des produits maison. Soulignons

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