Industrie Hôtelière

Le charme et l’organisation, mais l’équipement aussi

La restauration reste toujours une activité où le travail et le dynamisme priment. Témoin la renaissance de l’Auberge du Pont Calleck sous l’impulsion d’un couple qui a cru dans le côté magique du lieu, en pleine campagne, au bord du Scorff, havre de paix et de verdure, attenant à 2,5 hectares de bois. En plus, la campagne bretonne au nord de Lorient et de Quimperlé s’est vidée de ses sites de restauration, et il existe une demande qui n’était plus satisfaite pour les banquets, mariages et fêtes.

Maryse Lemouelick, née à quelques kilomètres de là et partie durant trente ans travailler dans la grande distribution en région parisienne, a trouvé, grâce à son compagnon Hubert Mahé, une bonne occasion de revenir au pays. Hubert, entrepreneur de travaux publics, avait tout le savoir-faire pour totalement rebâtir cet ancien restaurant tombé en décrépitude. Seuls les murs furent conservés. Le couple s’impliqua énormément dans cette lourde réfection qui dura dix-huit mois. Aujourd’hui, le site est enchanteur, attirant de nombreux mariages mais aussi des clients de cuisine gastronomique. L’établissement offre une salle pour le restaurant gastronomique, pour 40 couverts, deux salles de 15 couverts chacune et une grande salle pouvant loger 200 personnes assises. En plus, une terrasse de 150 personnes au moins. Le couple a travaillé avec un architecte mais a assuré la décoration en direct.

Ouverte depuis un an, l’Auberge du Pont de Calleck a servi 11 000 couverts

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