Si, jusqu’à présent, ils sont une dizaine de voyagistes à travailler avec l’association de tour-opérateurs Ceto pour tenter de réaliser une ébauche de certification pour le tourisme responsable, de nombreux problème se posent encore quant à la mise en place de cette garantie.
Trouver des critères ni trop stricts, ni trop souples, simplifier les audits (sous contrôle de l’Afnor), impliquer davantage la profession… Mais également former le personnel au tourisme responsable et ne pas effrayer les clients avec une hausse des coûts : telles sont les nombreuses problématiques liées à l’élaboration de cette certification.
Autre problème, et non des moindres, que les voyagistes souhaitent rapidement endiguer : le fait que certains considèrent l’idée de cette nouvelle certification comme un simple outil de communication.