Industrie Hôtelière

Une carte pour vendre

Une carte pour vendre

Doit-on utiliser la carte comme une simple liste des entrées, plats et desserts que propose un restaurant ? Ou comme un outil commercial pour se différencier dans un univers devenu très concurrentiel ? Nous optons sans hésiter pour cette seconde option et pensons que si un chef talentueux sait faire “chanter” un plat, il existe aussi des façons de faire “chanter” une carte.
Quels sont les éléments qui déclenchent ce que l’on pourrait appeler “l’acte d’achat” du consommateur ? En d’autres termes, ce qui le fait entrer ou non dans un restaurant. Le cadre, le style de cuisine, l’emplacement, le prix et bien évidemment la carte qu’il ne manquera pas de consulter, qu’il soit un passant qui flâne ou un internaute qui prépare sa sortie nocturne.
La carte est donc ce qui est examiné immanquablement et qui pourra décider ou non notre consommateur à s’en remettre à un restaurant. Pourtant, à l’heure où l’on parle de communiquer, de se faire connaître et de se faire aimer, les restaurateurs ne mettent pas forcément toutes les chances de leur côté quand il faut parler d’eux et de leur carte. Pourtant, parler de “pièce de bœuf” n’est-il pas plus engageant que “steack” ? C’est tout le problème de professionnels qui n’ont pas la même aisance avec les mots qu’avec le fourneau.

Le frais plutôt que les cartes à

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