Jean-Paul Combes a appris son métier de discothécaire sur le tas. A 25 ans, après avoir travaillé plusieurs années dans la brasserie de ses parents, il décide de monter «une grosse affaire» dans le monde de la nuit. «Je me suis associé en 1979 avec quelqu’un qui avait déjà du métier dans la nuit. Ensemble, nous avons lancé l’Aquarius à Pont-du-Château, à dix kilomètres de Clermont-Ferrand. Cette histoire commune a cessé il y a deux quand mon partenaire est parti à la retraite», explique Jean-Paul Combes.
Depuis le départ, il s’occupe de la communication et de la partie artistique et médiatise sa discothèque en utilisant un support à la fois : presse ou radio. Ses flyers sont régulièrement distribués. Plus de soixante hôtels, campings et syndicats d’initiative de la région les ont sur leurs présentoirs.
De la musette à la house
Actuellement, l’Aquarius propose «trois salles, trois ambiances». «Mon établissement est conçu pour que tout le monde s’amuse», déclare Jean-Paul Combes. Au sous-sol, la salle Aquarius accueille les 18-25 ans dans une atmosphère électro (house, techno, dance). Cédric, 23 ans, fils de Jean-Paul Combes, y officie en tant que DJ.
Deux autres salles ont été aménagées au rez-de-chaussée. En 1983, Jean-Paul Combes et son associé décident de créer une salle rétro-musette qu’ils nomment le Valentino. Cet espace est cassé en 1998 pour donner naissance à deux salles différentes : le Némo et le Louxor.