Allez, je propose qu’on taxe tous les contribuables actifs en installant des portails de mesure nasale électronique.
Ce contrôle s’effectuerait (dans un premier temps !) à l’entrée de chaque entreprise (coût du matériel de contrôle mis en place bien entendu et comme d’habitude, entièrement à la charge de l’entreprise, sans aide ni compensation) pour évaluer le montant de taxe sur l’air que chaque individu actif est capable de respirer.
Il sera donc encore possible par la suite (on s’en garde sous le coude) de s’attaquer aux particuliers (inactifs, chômeurs, retraités, jeunes scolarisés et étudiants) pour gratter encore un peu plus de taxes et ceci en mettant en place de nouveaux systèmes de contrôle dont nous ignorons encore la complexité, mais faisons confiance à l’esprit tortueux de nos technocrates pour inventer une méthode assez tordue pour que personne n’en comprenne véritablement le fonctionnement.
Tout cela nécessitera la création de postes de fonctionnaires supplémentaires (emplois d’avenir pardi !) pour évaluer la qualité des contrôles effectués par chaque portail, vérifier si l’employeur est bien aux normes et s’il vérifie bien régulièrement (à ses frais bien sûr !) le bon fonctionnement du dit portail et pour guetter les fraudes éventuelles !
Allez, je délire !! Quoique…
Les articles L2333-97 et suivants du Code de l’environnement instaure une taxe annuelle, la TGEPU, pour la gestion des eaux pluviales urbaines correspondant à la collecte, au transport, au stockage et au traitement des eaux pluviales des