Joël Giraudeau a estimé nécessaire de désamorcer d’entrée la question nationale et de n’inviter aucun représentant confédéral, évoquant le « calamiteux Congrès de Nantes ou l’UMIH ne s’est pas montrée sous son meilleur jour au moment où elle était au faîte de sa puissance et avait tout pour réussir. »
Savoir dire « STOP »
Ce préliminaire effectué, l’assistance a eu droit à une explication de texte sur l’avenant n° 6 de la convention collective sur laquelle le Président se dit « d’accord à 80/85 %. Au dernier moment, le coût s’est accéléré. Et là, il faut savoir dire »STOP ».» Et de se demander si la condition d’ancienneté ramenée à 4 mois pour les saisonniers ne constitue pas une discrimination par rapport aux CDD.
Place ensuite aux questions régionales. Joël Giraudeau a rappelé que l’umih 85 est attachée au maintien du dispositif d’aide aux investissements dit « Cap Tourisme » et à son évolution dans le sens d’une meilleure prise en compte de l’accessibilité pour les établissements existants.
S’agissant toujours des rapports avec les pouvoirs des publics, suite à la suppression de la CDAT, l’Umih 85 a saisi le préfet de la Vendée pour instituer une rencontre bi-annuelle avec les services de l’Etat concernant toutes les questions liées au tourisme et les métiers de l’hôtellerie. Réponse favorable des autorités.
Les hôtels au centre de l’actualité
Les représentants de Socotec ont ensuite expliquer les diagnostics en matière de mises aux normes. Puis le Directeur régional du tourisme, Jean