Industrie Hôtelière

AG de l’Umih 50 TVA, crise et après-crise

En présence de Dany Deleval qui a une fois de plus appelé les troupes à jouer la baisse des prix, les intervenants ont aussi évoqué la crise et l’après-crise. La Présidente de l’Umih 50, Françoise Leroy regardait le présent et le futur proche en mettant la TVA à 5,5 % et la crise au centre des débats. Mais elle pointait aussi ses yeux sur un futur un peu plus lointain en pensant à la sortie de crise. C’est pourquoi Bernard Boutboul, du cabinet Gira conseil et Christopher Terlensky étaient ses invités, tant pour parler de l’instauration de la TVA à taux réduit que des moyens d’affronter au mieux la conjoncture difficile… et repartir du bon pied quand la demande se réveillera.

Mais l’actualité était dominée par la TVA à 5,5 % et le nombre de professionnels qui restaient dans le flou quant à cette mesure fiscale tant attendue.

Une contrainte pour certains

« Dans notre département, la TVA à 5,5 % pose notamment des problèmes aux restaurants routiers qui pratiquent souvent un menu avec boisson incluse. Les chauffeurs routiers et d’autres salariés ne veulent pas qu’apparaisse une boisson alcoolisée sur leur note car ils craignent des soucis avec leur patron. Or, avec deux taux de TVA, on peut voir qu’ils ont consommé de l’alcool. Nous conseillons aux adhérents de faire un menu hors boisson », expose Françoise Leroy. Du coup, « pour certains, la TVA à 5,5 % est vue comme

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