La Loire-Atlantique est la septième destination touristique des Français en nombre de séjours, soit 2% de parts du marché national. La Baule, Guérande et les marais salants, le parc de la Brière, la Côte sauvage, Nantes et son Château des Ducs de Bretagne, les chantiers navals de Saint-Nazaire constituent une partie des atouts touristiques majeurs du département. L’offre hôtelière est importante et variée. Les centres de thalassothérapie, les golfs et les casinos complètent le panel des infrastructures.
Pourtant, la Loire-Atlantique manque d’une identité forte. C’est ce que constate notamment Philippe Quintana, président de l’Umih 44 : «Loire-Atlantique, cela ne veut pas dire grand chose. Nous sommes des ligériens et pourtant nous n’avons pas grand chose à voir avec d’autres habitants des Pays de la Loire. Il y a un manque de lisibilité de ce département, ce qui le rend difficile à vendre à l’étranger notamment. Une grande campagne de communication a été lancée avec la signature «Côté plage, côté jardin», ce qui représente bien la Loire-Atlantique.»
Les infrastructures ferroviaires et autoroutières comptent parmi les points forts du département. Nantes est à deux heures de Paris en TGV et La Baule et Le Croisic à deux heures et demi. La partie Sud Loire est moins bien desservie.
Il existe une bonne dynamique sur la Loire-Atlantique avec le développement du tourisme industriel. Fermes d’escargots et fromageries se visitent comme les sites d’Airbus Industries