Industrie Hôtelière

Dans le Sud de la France, le GNI prend son essor

À peine le GNI Midi-Pyrénées créé (lire Industrie Hôtelière n°681, juin 2015), que la nouvelle organisation s’est alliée avec le Synhorcat Languedoc-Roussillon lors d’une AGE organisée fin juin 2015 pour former le GNI Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon. Fort de cette nouvelle dimension, le GNI régional entend peser davantage auprès des institutionnels pour mieux porter la voix des adhérents. Retour sur la mise en place de cette nouvelle organisation avec Philippe Belot, son président.Qu’est-ce qui a conduit à la mise en place du GNI Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon ?
Philippe Belot :
Cette démarche a été initiée dès 2004 par le rapprochement du Synhorcat, la Fagiht et la CPIH dans un second temps pour constituer le GNI, la CPIH est depuis sortie du groupement. Nous voulons mettre en place un regroupement efficace sur tout le territoire et faire en sorte que les organisations représentatives correspondent à la future carte administrative des régions.
Chaque région aura sa propre identité. Nous allons conserver un président délégué sur le Midi-Pyrénées et un autre en Languedoc-Roussillon, respectivement Pascal Chardonnet et Philippe Etourneau. L’objectif n’est pas de réaliser un vaste regroupement mais d’être représentatif face aux nouvelles instances régionales et d’être en phase avec la loi sur la représentativité des organisations patronales effective en 2017.
Ce GNI a été entériné fin juin 2015 par l’AGE organisée à Toulouse, où étaient présents les présidents nationaux du GNI, Didier Chenet

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