«Depuis plusieurs années, nous devons faire face à une baisse du nombre de nos adhérents», indique Chantal Maud’huit Présidente de l’UMIH Eure-et-Loir.
«L’année dernière, nous avons perdu 20 à 30 adhérents. Aujourd’hui, nous sommes 60, alors que nous avons un potentiel de 800. Les gens se syndiquent moins, parce que l’information est plus facile à trouver que par le passé, notamment grâce à Internet, et parce qu’il y a des non professionnels qui s’installent. Pour accroître le nombre des adhérents, il faut aller les chercher, ce qui signifie qu’il faut développer une véritable démarche commerciale. L’UMIH nationale est en train de mettre en place ce type d’outil et nous devons être département pilote. De plus, nous nous déplaçons dans les établissements avec les membres du Conseil d’Administration et les administratifs.»