Industrie Hôtelière

Éthique en toc…

Le rapport Combrexelle sur la représentativité syndicale impose au 31 décembre 2015 que les organisations patronales comptent un certain nombre d’adhérents (8 % du nombre total des entreprises adhérentes à des OP) pour prétendre à la représentativité au 1er janvier 2017.
 
C’est la figure imposée et à partir de là, nous assistons à des figures libres des plus spectaculaires. Le SNRTC devient partenaire de l’Umih. Soit, rien à dire, les chaînes de restaurants rejoignent les chaînes d’hôtels (GNC), c’est logique et les notes tant pour le technique que pour l’artistique sont excellentes.
La CPIH ou plutôt Monsieur Gérard Guy et quelques membres de sa garde rapprochée engagent leur OP en emportant la majorité dans un nouveau partenariat avec l’Umih, alors qu’ils se sont engagés dans le GNI, le « I » représentant les « Indépendants ». Alors là, chapeau bas ! Triple salto, suivi d’une double boucle piquée et pour finir un triple lutz… Prémonitoire pour rejoindre l’Umih, même si l’orthographe n’est pas la même.
 
On peut se poser la question de savoir pourquoi les entrepreneurs adhèrent de plus en plus difficilement à nos OP et la réponse s’impose d’elle-même quand on regarde certaines circonvolutions.
La Sacem reste un argument sonnant et trébuchant pour motiver les récalcitrants, mais jusqu’à quand ? Nos adhérents ne savent pas encore qu’au lieu de bénéficier dans les années à venir des 33 % auxquels ils avaient droit, ils ne bénéficieront que de

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