Industrie Hôtelière

Le sens des actions concrètes

L’île de la Réunion gagne du terrain sur le plan touristique car elle profite des problèmes sociaux des Antilles et de l’évolution de la demande de la clientèle vers des activités plus sportives. Avec son concept de tourisme vert et le naturel plus accueillant de sa population, elle s’est positionnée de façon plus marquante.

L’essentiel des établissements d’hôtellerie et de restauration se situe dans la capitale, Saint-Denis, et sur la côte ouest, au bord des plages. Sur les 1 200 établissements de restauration répertoriés, 600 peuvent être considérés comme des restaurants au sens plein du terme. Philippe Doki Thonon, chef patron d’un des restaurants gastronomiques de l’île, la Saladière à Saint-Denis, a fondé avec deux collègues la FNIH régionale en 1986. Aujourd’hui, l’UMIH la Réunion rassemble 260 adhérents répartis en quatre secteurs ou Clubs. La grande hôtellerie (établissements de plus de 50 chambres) dont la totalité sont des adhérents, l’hôtellerie familiale indépendante et créole (85 % d’adhérents), la restauration (30 % d’adhérents) et les bars brasseries et discothèques.

L’UMIH la Réunion est en phase ascendante grâce à de nombreuses actions au niveau de chaque club. «Ce sont les actions qui aident les professionnels dans leur vie quotidienne, qui génèrent le plus d’adhésions», estime Philippe Doki Thonon qui préside l’UMIH la Réunion en plus du Club des restaurateurs.

Avec cette double structure, UMIH et clubs, les

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