Au congrès de Lille vous avez exposé votre projet de transformation de l’UMIH. Où en est-on en ce début 2009 ?
Christine Pujol, présidente confédérale de l’UMIH : Au préalable, je tiens à rappeler les grandes lignes de ce projet, baptisé « OSER! », après propositions suivies d’un vote des présidents départementaux. Pourquoi un tel projet ? Parce que nous voulons construire une UMIH différente, une UMIH moderne, une UMIH puissante, une UMIH plus proche de ses adhérents. Voilà le sens des grands chantiers que nous menons en ce moment.
Concrètement, deux premiers groupes de réflexion ont été constitués et ont commencé leurs travaux. Le premier a pour mission de redéfinir les prestations aux adhérents. Le second réfléchit au développement d’une nouvelle politique partenariale. Un troisième sera mis sur pied d’ici à quelques jours pour refondre notre système d’information.
Comment fonctionnent ces groupes de travail ?
CP : Tout est basé sur le volontariat ! Les groupes sont donc constitués de présidents départementaux et de collaborateurs permanents de l’UMIH volontaires. Chaque groupe se réunit à raison d’une fois tous les huit jours durant six semaines. Un pilote dresse un bilan des travaux au comité de pilotage composé de : la présidente et la vice-présidente confédérales, le directeur général de l’UMIH, le trésorier, la direction de la communication et celle des affaires économiques/nouvelles technologies. Les premiers résultats des travaux engagés seront achevés au plus tard fin juin afin que la nouvelle organisation soit opérationnelle au début du