Industrie Hôtelière

Recentrage local

Finalement, ne sont-ils pas les mieux placés pour s’exprimer sur les questions réglementaires qui touchent la branche dont ils sont responsables ? D’autant que Jean-Louis Jama a exprimé son exaspération à propos des responsables nationaux dont aucun n’était invité ce jour dans les locaux de la CCI d’Orléans.

Devancer la question

C’est à son initiative qu’il s’est prononcé sur le dossier de l’Umih nationale. « Pour devancer la question qui ne manquerait pas d’être posée. Tous ceux qui sont en place sont allé trop loin. La restauration, c’est un métier d’accueil, je dirais même d’amour. Ils ne le représentent pas. Nous sommes déjà mal au plan médiatique, alors… A chaque rencontre avec les représentants d’une administration, on prend en pleine figure sur ce qui se passe à Paris. Ces gens qui se déchirent en public ne sont plus crédibles. Qu’ils laissent travailler notre personnel de Paris et qu’ils ne se présentent plus aux prochaines élections. A cette occasion, il faut souhaiter que soit élu une personnalité qui ait su rester neutre ces derniers mois. Et qu’au passage, on refasse les élections de branches pour repartir sur de bonnes bases », estime Jean-Louis Jama.

Mais place aux intervenants. Dominique Delgenne, président des cafetiers, a ouvert les hostilités avec l’interdiction de fumer, la charte de bonne conduite sur Orléans qui marche bien (dérogation pour fermer à 2h l’été), la loi Bachelot… Pour laisser la parole à son collègue de la branche Métiers de la

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