Visiblement, vous avez une conception très « service » du rôle du syndicat…
Je considère que le syndicat est là pour aider les adhérents, pas seulement quand ils ont un problème mais dans leur gestion quotidienne. Nous sommes là bien sûr pour informer et je projette d’organiser pour cela des réunions régulières. Nous sommes aussi une force par le nombre et cela doit nous permettre d’en faire profiter les adhérents, notamment avec les fournisseurs. Nous avons déjà une vingtaine de partenaires qui consentent des remises ou des chèques-cadeau en fin d’année. Je compte sur les membres du bureau pour que la liste soit bien plus longue. Au bout du compte, l’adhésion à l’Umih doit avoir été largement « rentabilisée » ! Je me souviens d’un fournisseur qui avait fait un chèque à l’Umih. C’est très bien mais je préfère qu’il aide directement les adhérents.
C’est sans doute un moyen d’intéresser les CHR à l’adhésion. Quels sont vos objectifs en nombre ?
Dans le passée, l’Umih 89 a dépassé les 400 adhérents. C’est l’objectif que je me donne et je compte sur ma collaboratrice Corinne Roguier pour y parvenir. Les permanents de l’Umih font souvent un excellent travail, il faut les valoriser. Pensez qu’à son arrivée, il y a trois ans, nous n’étions que 140 contre 275 aujourd’hui, et j’espère 300 à la fin de l’année. Nous démarchons les non-adhérents par mailing et nous en profitons pour leur faire passer la liste des fournisseurs qui nous font