Selon Hubert Jan, président des restaurateurs, la restauration doit s’ancrer économiquement dans l’activité des territoires. Pour 2013, le président de branche a évoqué la mise en place de l’entité des traiteurs et organisateurs de réception ; le développement de formations pour les patrons et les salariés sur des schémas courts ; la refonte du titre de Maître restaurateurs ; une collaboration plus étroite avec les associations de restaurateurs et les étoilés. Autre chantier : différencier, aux yeux des clients, la restauration « choisie » de la restauration « pratique ». La première travaillant le produit du début à la fin aurait une masse salariale dépassant les 40 %. La seconde, tournant autour de 20 % est plus proche de la restauration industrielle, ce qui impliquerait une différenciation par le taux de TVA.