Industrie Hôtelière

Syndicat à but non lucratif

Quelles sont vos plus grandes satisfactions de président départemental ?

D’abord le fait d’avoir pu unifier le département en 1998 et d’organiser le congrès national à La Rochelle trois ans plus tard. Entretemps, nous avons dû gérer la tempête de 1999 je peux citer des actions qui ont été innovantes. Si bien qu’elles ont connu un grand succès par la suite… entre d’autres mains que les nôtres. Je citerai le salon Qualirestel (salon QSE) que nous avons monté en 2004 à La Rochelle et dont le concept a été copié l’année suivante. Je pourrais aussi parler du permis d’exploitation dont nous avons présenté le concept aux élus nationaux en 2004 mais qui a connu le succès ailleurs.

Combien d’adhérents regroupez-vous ?

Aujourd’hui 320 et ce qui se passe à Paris nous en a fait perdre une trentaine. Lorsque nous avons fusionné deux syndicats départementaux pour former l’Umih de Charente-Maritime, nous sommes partis à la pêche aux adhérents avec l’annuaire téléphonique. Et nous sommes montés en puissance comme cela et affirmer notre place autour de la table. Nous allons voir les nouveaux qui s’installent pour leur proposer nos services et d’adhérer ; le réseau des comptables et des banquiers nous en envoient aussi. L’objectif, cette année, c’est de se maintenir.

Comment se peut-il que l’Umih 17 regroupe aussi les Deux-Sèvres et les Charente ?

Personne ne veut s’occuper de ces départements et je ne sais pas si le président des Deux-Sèvres aura un successeur. Il

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