Industrie Hôtelière

Umih 06 : Un nouvel élan pour Nice

L’Union patronale des cafetiers-restaurateurs de Nice regroupe 700 membres, dont 150 cafés et pubs, 250 brasseries, une dizaine d’établissements de nuit, et un peu moins de 300 restaurants. «Dans les dernières années, j’estime que le tourisme a été délaissé dans la ville, mais les choses vont changer avec la nouvelle équipe municipale», indique Hubert Boivin qui préside le syndicat depuis 8 ans. «Je me suis moi-même présenté sur la liste de Chritian Estrosi, mais volontairement en cinquantième position. Je m’occuperai d’une commission, ce qui permettra de faire entendre notre voix. Avec l’application de l’interdiction de fumer, il faut, par exemple, revoir l’ensemble de la réglementation sur les terrasses. Il faut, par exemple, que les patrons qui n’ont pas de terrasse (et ils sont au moins une centaine à Nice sur 1200 établissements), puissent au moins installer un petit abri. C’est une question vitale pour les petits cafés. Il y a aussi toute une série d’anomalies. Le port dépend, par exemple, de l’Etat, et les établissements qui y sont installés payent 6 euros le m2 à la ville et 1,5 % de leur chiffre d’affaires total (intérieur et extérieur) à l’Etat. C’est une situation intenable et de nombreux professionnels sont au bord du dépôt de bilan. Dans le même ordre d’idées, le prix des terrasses est calculé d’après l’activité en période haute. Par contre, il est payé

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