Industrie Hôtelière

– Umih 44 Les patrons ne sont pas responsables de tout

Philippe Quintana Président de l’UMIH Loire-Atlantique a participé le 7 octobre dernier à une émission de Télénantes, qui avait pour thème «Alcool : qui trinque ?». Le Préfet de Loire-Atlantique Bernard Hagelsteen était également présent. Une occasion pour Philippe Quintana de rappeler le différent qui a opposé le syndicat à la Préfecture, ainsi que la décision de justice qui a donné raison à l’UMIH 44. «On avait appris par la presse qu’un arrêté préfectoral allait réguler nos heures d’ouverture et de fermeture d’établissement…» a indiqué Philippe Quintana sur le plateau de télévision. «La profession s’est alors mobilisée pour dire à Monsieur le Préfet que nous existions, qu’il n’y a pas que des chiffres et des horaires, mais qu’il y a aussi des hommes derrière tout cela, des entreprises, du lien social, beaucoup de choses qui étaient en jeu et qu’il fallait défendre. Nous nous sommes donc mobilisés. Nous avons d’abord formé un recours gracieux. La Préfecture nous l’a rejeté. Suite à cela, nous avons dû faire un recours contentieux et nous avons gagné. Ce qui n’allait pas c’était les horaires discriminants. En voulant lutter contre les migrations accidentogènes, on créait d’autres migra- tions accidentogènes.»

Rappelons que l’arrêté préfectoral incriminé a été condamné en date du 10 juillet 2008. Le juge a considéré qu’il ne ressort pas des pièces du dossier qu’une différence objective de situation existe entre des établissements de même nature sur le seul fondement de leur localisation géographique.

Un

Quitter la version mobile