Industrie Hôtelière

Un accord sur les terrasses calme les tensions à Dijon

UMIH CÔTE-D’OR

La tarification sur l’utilisation des terrasses votée en juin 2012 à Dijon avait déclenché un vent de colère de la profession, repoussant la réforme en 2013. Nathalie Koenders, adjointe au commerce de François Rebsamen et Patrick Jacquier, pour l’Umih se sont mis d’accord sur un nouveau règlement.

La ville de Dijon, par le biais de l’adjointe du sénateur-maire François Rebsamen, Nathalie Koenders son adjointe au commerce et Patrick Jacquier, pour l’Union des métiers de l’industrie de l’hôtellerie (Umih Côte-d’Or) ont trouvé un accord. La colère des professionnels grondait depuis plusieurs mois, la ville de Dijon ayant décidé de nouveaux tarifs d’utilisation des terrasses pour les cafetiers. En outre, la ville avait également décidé, c’est pratiquement unique en France, de créer également le fameux « droit d’installation », c’est-à-dire une somme à régler à la ville quand le fond de commerce est racheté.?S’en est suivi un vent de colère, porté par les représentants de la profession. Votée à l’unanimité, y compris par l’opposition, au conseil municipal du 28 juin 2012, la réforme avait été repoussée à 2013. Dijon a fini par accepter de baisser la note.

Soutenir l’activité
La nouvelle grille des tarifs prend en compte quatre types de terrasses différentes : « en plein air », « aménagées légères », « aménagées fermées » et « en dur ». La ville prenant appui sur les aménagements réalisés ces

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