Industrie Hôtelière

Un président alsacien « de la base » qui ne mâche pas ses mots

UMIH CANTON DES TROIS FRONTIÈRES (68)

Patrick Forster est arrivé dans le métier par amour… Pour sa femme et pour sa région. Il s’est installé dans le « Canton des Trois Frontières » qui a la particularité de réunir la France, l’Allemagne et la Suisse. Aujourd’hui, toujours actif, il a décidé de consacrer du temps à l’Umih pour défendre sa profession. Un « travail de fourmi » utile, mais pas toujours reconnu à sa juste valeur.

Comment êtes-vous arrivé dans le métier ?
Par amour ! J’étais directeur adjoint d’une entreprise dans l’immobilier, lorsque j’ai rencontré ma femme qui dirigeait à Dijon un restaurant alsacien, Les Armoires d’Alsace. L’Alsace est notre région d’origine, nous sommes donc retournés au pays pour ouvrir le même restaurant sur la zone géographique de la route des vins. Après une maladie de mon épouse, nous avons dû arrêter notre activité. En 2007, c’est notre fils Alain, cuisinier, qui a repris le métier, avec sa femme Angélique. Le restaurant est situé près de la frontière suisse, et nous y avons un rôle actif avec ma femme. Je partage désormais mon temps entre le restaurant et mon activité de président cantonal de l’Umih.

Depuis quand êtes-vous impliqué dans les activités de l’Umih, et quelles

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