Industrie Hôtelière

Une histoire de famille : le restaurant « La Belle Mère qui fume »

Ils sont trois. Deux frères et leur beau-frère qui partagent la passion de la cuisine et qui, un jour au Maroc, cherchaient un nom pour le restaurant qu’ils voulaient créer. Une personne a rallié leurs suffrages : la belle-maman qu’ils adorent.

Que signifie le nom que vous avez donné à votre restaurant  ?
Rassurez-vous, ma belle-mère ne fume pas et je ne lui connais d’ailleurs pas de défauts ! Le nom montre que nous avons l’esprit de famille, que nous partageons avec nos clients à qui nous expliquons systématiquement les plats de notre carte, comme à nos enfants en quelque sorte…

Pourquoi avez-vous choisi de faire une carte courte ?
Parce que nous sommes un vrai « restaurant », c’est-à-dire que nous travaillons des produits bruts, de saison et nous faisons nous-mêmes les pâtisseries. C’est d’ailleurs la proposition du Synhorcat sur l’appellation « restaurant », reprenant la même définition,  qui nous a séduits ! La transparence c’est notre « truc », d’ailleurs la cuisine est ouverte à tous.

La réduction sur les tarifs de la Sacem vous a-t-elle incité à devenir adhérent  ?
Évidement, mais la différence au Synhorcat, c’est que nous avons des conseils sur le plan juridique et social personnalisés et réactifs avec des experts au téléphone et cela n’a pas de prix.

Et puis vous rompez l’isolement dans un « esprit de famille

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