commercial, des contacts se nouent et nous espérons bénéficier d’effets cumulatifs.» Dominique Chevalier se rend de temps à autres dans l’entrepôt METRO pour soutenir son commercial. «Plusieurs membres du Conseil d’Administration viennent également.»
Au sein de l’entrepôt METRO, le commercial se déplace de façon à aller au-devant des clients. «Je constate qu’il est très bien accueilli et que les clients l’apprécient», indique Denis Daigueperce. «Depuis qu’il est là, il est souvent questionné sur la TVA et nous le tenons au courant de l’actualité de ce dossier», ajoute Dominique Chevalier. Pour recruter son chargé commercial, la Chambre Syndicale de l’Industrie Hôtelière de l’Aube a passé des annonces dans des écoles de commerce et dans une école hôtelière de la région. «Pour le motiver, nous lui octroyons une commission de 5 %, assise sur le montant de toutes les nouvelles adhésions. De plus, nous doublerons sa prime s’il atteint ses objectifs.»
Une initiative qui prouve que le syndicat entre dans la modernité, car aujourd’hui les adhésions ne se font plus toute seule et il faut aller à la rencontre des professionnels, sur le terrain, pour faire progresser le syndicalisme. «Dans les trois dernières années, nous avons perdu 10 % de nos adhérents, notamment parce que nous sommes concurrencés par un syndicat généraliste, qui a engagé un ancien cafetier à temps plein pour démarcher les