Procédé rare en France selon
la présidente des cafetiers morbihannais de l’UMIH, Marylène Maillard : «la municipalité nous fait
désormais payer nos terrasses
non plus au m2 mais à la chaise !»
La mesure prise pour mettre fin
aux abus a vu les professionnels
se mobiliser.
Selon le nouveau mode de calcul
(4 chaises et une table pour 3 m2), l’augmentation allait atteindre 62 % dans certains quartiers. Si les élus
ont lâché du lest, la réforme est
maintenue donnant lieu
à des factures alourdies de 25 %
pour les cafetiers les plus touchés.
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