C’est sur l’initiative du maire que terrasses fermées et ouvertes du dernier-né des ports azuréens (1989) font l’objet d’une mise en conformité, depuis la fin du printemps et ce jusqu’à la fin de l’automne. Objectif : éviter les problèmes rencontrés à Saint-Laurent du Var, où quelques-uns des exploitants s’étaient vus dans l’obligation de détruire purement et simplement leurs extensions sur injonction de la préfecture. Une quarantaine d’établissements est concernée sur les 62 que comporte le port. «Nous comptons bien éviter les débordements intempestifs surtout en ce qui concerne les terrasses ouvertes, déclare le maire Alain Gumiel, le tarif de 50 euros/m2 est imposé, ce qui incitera les uns et les autres à ne plus faire n’importe quoi. Et nous exigeons également que les menus et autres jardinières ne soient plus disposés sur le passage des piétons, bref que l’on fasse montre de davantage de discipline !»
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