Privé, luxueux, hors normes, et situé sur la corniche entre Nice et Monaco, le Cap Estel a retrouvé sa vocation de site hôtelier après trois ans de rénovation. C’est la famille Lewis, investisseurs privés sud-africains basés à Londres, qui l’a racheté en novembre 2000 (21 millions d’euros) à la famille Squarciafichi, l’un des plus grands noms de l’hôtellerie azuréenne. Un chantier de 25 millions d’euros a réussi à métamorphoser cette presqu’île de 2 hectares, destinée à une clientèle internationale susceptible de dépenser au moins 2 000 dollars par séjour. Conçu pour recevoir évènements thématiques, banquets privés, lancements de produits et tournages de films, mais classé seulement quatre étoiles, le «Cap Estel» vise un premier CA de 3 millions d’euros.
Il reste 10% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Industrie Hôtelière à partir de 30€
S'abonner