Après six mois de pratique, on ne peut pas considérer l’opération «sans tabac» lancée par la Ville de Paris et le syndicat patronal Synhorcat comme une réussite. Les panonceaux annonçant les établissements sans tabac n’ont pas fleuri. Quant aux livrets les répertoriant et distribués par la mairie de Paris, ils viennent rejoindre le flot de ces dépenses administratives qui n’ont aucune utilité dans la vie pratique des consommateurs. A force d’essayer de mobiliser les patrons de CHR sur des opérations les plus diverses, sans qu’elles leur rapportent quoi que ce soit, on perd de vue les véritables priorités et le sens des réalités commerciales.
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