«A la fin du mois d’avril, nous avons eu un rendez-vous à la Préfecture de Paris», indique Bertrand Lecourt Président de l’UMIH 75 (Chambre Syndicale de Paris Meslay) et Président de la FHFN. «En effet, nous avons souhaité et c’était aussi leur voeu, que nous n’ayons qu’un seul interlocuteur pour les services hygiène et sécurité. Nous avons également eu une réunion le 25 avril avec le GNC et des associations de handicapés. En effet, l’arrêté est désormais publié, mais son application sur le terrain peut prendre des formes différentes. Les associations de handicapées se sont montrées intéressées par ce que nous pouvions leurs proposer et inversement nous voulions savoir quelle est leur position. En effet, en tenant compte des contraintes de chacun, dans certains cas, il est possible de faire plus que ce que demande la loi, et dans certains cas, au contraire, l’application totale de la loi n’est pas réalisable. Dans certains cas, il est par exemple possible de faire plus de chambres handicapées que la loi ne le prévoit. Dans le neuf, les chambres handicapées ne coûtent d’ailleurs pas beaucoup plus cher. Au fond, l’essentiel, c’est de faire preuve de bonne volonté.»
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