Le GNI privilégie l’action sur le terrain, l’Umih prône le dialogue

Le GNI privilégie l’action sur le terrain, l’Umih prône le dialogue

Réaction du GNI


Suite au vote du conseil confédéral qui a conduit la CPIH à rejoindre l’Umih, le Groupement national des indépendants a indiqué prendre acte de la décision. « Cette décision n’est motivée que par les intérêts financiers de la CPIH, ce qui est regrettable en matière de syndicalisme. Au GNI nous restons fidèles à nos valeurs et à notre engagement à défendre les métiers et les intérêts de nos adhérents en étant à leur côtés au quotidien quand il s’agit de mener une action qu’elle soit locale ou nationale, ou quand il s’agit d’être force de proposition pour développer le secteur », a indiqué le GNI dans un communiqué.Source d’innombrables dysfonctionnements, le Régime social des indépendants (RSI) est décrié de toutes parts. Si le GNI a appelé les indépendants à manifester le 9 mars 2015 à Paris pour dénoncer les multiples problèmes de ce régime, l’Umih a choisi une voie tout autre, en indiquant dans un communiqué « privilégier la voie du dialogue et de la concertation plutôt que celle de la rue ». Cette manifestation qui a mobilisé 10 000 personnes sur le terrain, a pourtant permis de marquer les esprits et a été suivie d’effets (lire ci-dessous). Parmi les manifestants du 9 mars, Philippe Lhomme, président sortant « libéré » de la CPIH 16 et membre du conseil d’administration du GNI. Retour sur cette manifestation soutenue par le Groupement national des indépendants.Qu’est-ce qui vous a conduit à


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