Classé « Auberge collective », le Beau M allie auberge de jeunesse et hôtellerie dans une ambiance conviviale. Ses équipements à la pointe de la technologie, sa dimension écoresponsable, son sens de l’accueil font de cet établissement un lieu à part. Le succès est au rendez-vous, l’hostel atteignant 80 % de TO sur les premiers mois. Visite guidée avec Pauline Mey, fondatrice et directrice de l’établissement.
Ouvert en mars dernier, le Beau M (le M évoque le quartier de Montmartre situé à proximité, le nom de la famille propriétaire, et un clin d’œil au côté bohème) se veut un établissement convivial par son accueil, son espace café-restauration.
Avant sa transformation en hostel, le lieu abritait un immeuble de bureaux. « En 2018, nous avons étudié plusieurs options dont un hôtel trois étoiles. Les hostels commençaient à s’ouvrir au niveau du marché sur Lille, Lyon, Paris, à la montagne… avec par exemple Slo Living Hostel, HO36, Jo&Joe, Les Piaules. Nous nous sommes alors intéressés au sujet », précise Pauline Mey, fondatrice et directrice de l’établissement, passée par l’Institut Paul Bocuse et l’EM Lyon.
La période de travaux, réalisée en partie pendant la crise sanitaire, a été complexe. « Cela a été un projet de longue haleine entamé il y a cinq ans. La demande de permis de construire a été
Il reste 87% de l’article à lire
Pas encore abonné ? Abonnez-vous !
Vous êtes abonné ? Connectez-vous
Accédez à l’ensemble des articles de Industrie Hôtelière à partir de 65€
Créer un compte