
Alors que, le 3 août dernier, le GNC et l’UMIH se sont officiellement opposés à l’accord santé du 28 juin 2022, le GNI et le SNRTC ont tenu à réagir d’une même voix.
Faisant part de leur « totale incompréhension », les deux structures rappellent que « cet accord est le fruit de 18 mois de travail paritaire entre les organisations syndicales de salariés et les organisations patronales, pour sauver et donner un nouvel élan au régime frais de santé de la branche, mis en place en 2011 ».
En effet, « les positions du GNI, du SNRTC et de l’UMIH ont toujours été convergentes », affirment le GNI et le SNRTC, précisant que le président confédéral de l’UMIH avait « fait part de son total soutien […] dans un courrier destiné aux représentants élus de son organisation ».
Et d’ajouter : « Quant au GNC, il a plutôt brillé par son absence et son manque d’implication au cours des travaux menés sur le régime. Et il voudrait à présent faire croire que les décisions ont été précipitées […] ».
Pour le GNI et le SNRTC, « cette position du GNC démontre une fois encore son mépris pour le dialogue de branche et son penchant naturel à privilégier ses intérêts particuliers à l’intérêt général. Car en effet, le GNC semble oublier que ses membres ont profité pleinement de la solidarité de la branche, d’abord lorsqu’ils ont rejoint le régime à un moment où
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