Si le GNI Poitou-Charentes est opérationnel depuis mi-2015, il vient de fusionner ses structures financières. Un pas de plus pour le syndicat qui compte quelque 700 adhérents pour peser davantage et mieux défendre les intérêts des indépendants des CHR au niveau régional et national. En 2016, le syndicat entend porter plusieurs projets dont la réforme de l’apprentissage pour lequel il s’est particulièrement investi (lire 
Industrie Hôtelière n°684, novembre 2015). Le point avec Philippe Lhomme, vice-président du GNI Poitou-Charentes.Quels sont les derniers événements au niveau du syndicat ?
Philippe Lhomme : Nous avons fusionné sous une seule entité Poitou-Charentes. Jusqu’à présent, le GNI Poitou-Charentes existait mais n’était pas vraiment actif sur le plan financier. Il est désormais autonome financièrement. Les cotisations sont harmonisées au niveau de la région.
Qu’est-ce que cela va changer pour les adhérents ?
Rien de particulier, car nous conservons nos antennes de secrétariat respectives. Cela va nous permettre de devenir à 
terme une très grande région Aquitaine Poitou-Charentes pour peser de tout notre poids. Plus nous serons nombreux et plus nous pourrons nous faire entendre au niveau de la région.
Quelle est votre feuille de route pour 2016 ?
L’apprentissage, les agences de voyage en ligne (OTAs), le RSI. Concernant l’apprentissage, nous voulons des primes qui servent réellement aux restaurateurs. Actuellement, nous devons supporter
