Les écoles hôtelières ont le vent en poupe. École de Lausanne, Glion Institut, Institut Paul Bocuse, école internationale d’hôtellerie et de management Vatel… Tournées vers l’international, toutes ces écoles de renom sont particulièrement appréciées des groupes hôteliers pour recruter leurs cadres dirigeants et opérationnels. Par exemple, à Vatel, le taux d’insertion, six mois après la formation, est de 98 % pour les Bachelor, 100 % pour les MBA. « Les étudiants sont mis en situation de management réel, les aînés encadrant les plus jeunes dans les structures d’applications pratiques Vatel, ouvertes au public et intégrées directement au campus », précise l’école qui compte 7 000 étudiants dans ses 35 campus en France et à l’international.
Si les écoles hôtelières ont la cote, d’autres formations sont également plébiscitées à l’instar de la licence professionnelle « Direction des services d’hébergement en hôtellerie internationale » (sur 13 mois) et le Master « Management des services en restauration et hôtellerie internationale » (sur deux ans) de l’Université de Cergy Pontoise, mises en place conjointement par des professionnels de l’hôtellerie et des enseignants. Deux formations gratuites qui reposent sur l’apprentissage, accueillant chacune quelque 25 étudiants par niveau. « Spécialisée sur la partie hôtellerie, cette licence prépare aux métiers de l’encadrement. Elle a une vocation internationale avec des enseignements soutenus en langues vivantes – anglais-allemand-espagnol. Nous avons intégré le portugais cette année. Les étudiants partent en mission à l’étranger et ils sont amenés à travailler sur un projet dans un environnement international », détaille Régine Davroux,
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