«Accueil aimable à notre arrivée et durant tout le séjour, chambre propre et calme, mon conjoint et moi avons apprécié le wi-fi et la belle salle de bain. L’hôtel semblait mériter ses 3 étoiles. Tout était parfait jusqu’au petit-déjeuner qu’on s’est fait servir en chambre le matin. Là, grosse déception. Le café au goût de flotte, le pain industriel et à moitié rassi, les croissants pas terribles, les confitures en petit pot à languette… A 12,50 euros, c’est cher payé. Ca nous a gâché le séjour et je ne conseillerai pas cet hôtel. » Sur Internet, les sites d’avis de consommateurs abondent de commentaires de ce genre sur les hôtels. Et souvent, l’internaute ne manque pas de mentionner le PDDM, petit-déjeuner du matin comme l’appelait mon colonel. Apprécié ou décrié par le consommateur-commentateur, il est assez souvent évoqué pour que l’on mesure son importance en termes d’image et de fidélisation. Et quand on sait que trois quarts des clients d’hôtels y consomment un petit-déjeuner, il n’y a pas de raison de le négliger. « Le petit-déjeuner est la dernière impression qu’on garde d’un hôtel » est un adage qui mérite qu’on en tire les conséquences. Rappelons les principales attentes du client d’hôtel :
– ne pas attendre
– trouver de la variété au buffet
– des produits de qualité et en abondance
– de la propreté
– un accueil souriant et discret.
Ces exigences facilement compréhensible rejoignent un fondamental que les CHR doivent garder à