«Paradoxalement, beaucoup d’établissements ont fermé durant le réveillon, soit par manque de personnel, soit parce qu’ils n’ont pas voulu prendre de risque», indique Jacques Mestre Président de l’UMIH 34. «Il y a donc eu une baisse importante de l’activité. En fait, au réveillon, les établissements qui marchent sont soit les bons petits restaurants, soit ceux qui proposent des formules festives.» En ce début d’année 2007, l’UMIH 34 ne manque pas d’idées. «Nous sommes en train de travailler avec la région sur quelques gros dossiers. Nous montons, par exemple, un partenariat avec la viticulture. Nous réalisons aussi un petit dictionnaire des mots de la restauration. Nous avons choisi 27 000 termes du monde de la restauration, que nous avons traduits en 4 langues. Si nous obtenons le soutien de la région, nous envisageons de le publier à un million d’exemplaires. Les dictionnaires seraient transmis aux restaurateurs, qui les remettraient gratuitement aux clients étrangers.» Une opération qui pourrait être prête pour les mois d’avril ou mai.
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