Thérèse Tanguy est arrivée au syndicat en août 1974. Il y avait, à cette époque, trois permanents : le Secrétaire Général, le Responsable Administratif et la Responsable à l’Accueil. Le Président de l’époque, Roger Guitard, cherchait à remplacer la Responsable à l’Accueil, partie en congé de maternité. Thérèse Tanguy, qui vient d’arriver dans la région, saisit l’occasion. Elle n’a aucun problème à assumer cette fonction. Elle a déjà travaillé auparavant pendant douze ans dans une organisation patronale, la FBTP (Fédération du Bâtiment et des Travaux Publics) à Paris. Un mois après la fin du CDD, Thérèse Tanguy est à nouveau appelée. «La dame que j’ai remplacée a démissionné. Elle a souhaité s’occuper de son bébé». Durant cette même année, le CDD de l’administratif se termine comme prévu. Thérèse Tanguy le remplace tout en conservant son poste à l’accueil : «Cela n’a pas été trop difficile. Il m’a simplement fallu mieux apprendre les particularités du secteur».
Une valeur ajoutée reconnue
À son arrivée, le syndicat compte 787 adhérents. En 1980, ce nombre passe à 1187. C’est en 2001 qu’a lieu la fusion entre le SDHCR (Syndicat Département des Hôteliers des Cafés et Restaurateurs) devenu la Maison de l’Hôtellerie en 1990 et le SPH 56 (Syndicat Patronal de l’Hôtellerie). Aujourd’hui, l’UMIH 56 regroupe près de 1260 adhérents. Son taux