«Je crois qu’il y aura des chambardements dans les mois qui viennent et c’est peut être une bonne chose parce que nous sommes là pour faire avancer la profession», indique Philippe Quintana Président de l’UMIH 44. «Prenons l’exemple du tabac. Une entreprise qui n’a pas de salarié doit pouvoir choisir entre un statut fumeur et non fumeur. Nous sommes là pour défendre les petits. Nous avons eu dans le département un patron qui s’était lancé dans une grève de la faim pour protester contre l’interdiction de fumer. Fort heureusement, il a arrêté son action. Mais c’est le signe d’un désespoir profond. C’est un homme qui avait cru aux promesses qui lui avaient été faites. Autre exemple : celui des établissements de nuit. Il faut arrêter d’être dans du dérogatoire et il n’est plus possible d’avoir autant d’arrêtés, en ce qui concerne les horaires d’ouverture, que de départements. Nous avons des devoirs, mais nous avons aussi des droits. Il ne faut plus que nous soyons à la merci d’un préfet ou d’un maire, comme nous l’avons vécu dans notre département, avec ce nouvel arrêté préfectoral qui est venu changer les règles du jeu. Nous avons fait un recours gracieux auprès du Préfet, qui n’a malheureusement pas porté ses fruits et nous sommes en train de faire un recours contentieux, parce que nous ne voyons pas pourquoi il y aurait une discrimination,
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