Dans un contexte difficile où la crise économique commence à sérieusement se faire sentir dans le secteur de la restauration, la Fédération Nationale de la Restauration Françaises (FNRF) a profité du congrès de Lille pour dresser un bilan de ses actions.
Sous la houlette de Philippe Villalon, la FNRF a ainsi abordé de nombreux dossiers de fond. A commencer par le permis de restaurer. «Ce dossier, suivi par Charly Belisson, a été l’occasion de plusieurs rencontres avec l’association ADICARE, présidée par le Professeur Cabrol qui s’est fortement impliqué aux côtés de l’UMIH afin qu’un texte de loi impose une formation sur l’hygiène avec un module sur les qualités nutritionnelles des aliments», a commenté le président de la FNRF.
La FNRF continue d’oeuvrer pour la professionnalisation du secteur : révision des modules de formation au sein d’UMIH-Formation, accentuation de la communication sur l’obligation de formation à l’hygiène, la mise en place du permis d’exploitation pour les restaurateurs fin mars-début avril 2009. La FNRF reste vigilante et intervient auprès des pouvoirs publics pour que ceux-ci accentuent les contrôles sur « les nouvelles formes de restauration alternatives » et vérifient si la législation et notamment à l’hygiène sont respectées. Autre grand thème évoqué au cours du congrès de Lille : la revision du guide de bonnes pratiques d’hygiene restaurateur. «La révision du guide de bonnes pratiques d’hygiène du restaurateur, a été réalisée au sein d’un groupe de travail piloté par la CGAD», a souligné Philippe Villalon.
