Joël Oudin a organisé une AG dans un style qui est le sien, l’ambiance décontractée, la bonne humeur et les allocutions brèves ont permis un rythme soutenu. Il a donc été rapidement satisfait aux obligations de forme, faisant notamment apparaître un produit d’exploitation en hausse de 32 000 euros et deux nouveaux arrivants au bureau. Il s’agit de J.-P. Kilburg, responsable discothèques et Yannick Millot (directeur de Soredis qu’il quitte pour diriger La Petite Chaumière, avenue d’Epernay à Reims) pour succéder à Joël Oudin dans le rôle de médiateur.
Place maintenant au bilan moral. En commençant par la constitution de l’Umih Champagne-Ardennes avec Joël Oudin pour président et la mise en ligne du site www.umih51.org. Ce dernier permettra d’offrir de meilleurs services aux adhérents et ses pages « emploi » devront aider les professionnels en mal de recrutement.
Victoire sur l’arbitraire
Mais le « gros » dossier de l’année reste celui qui a opposé les cafetiers rémois non à la police mais à un policier qui s’est acharné contre certains d’entre eux, brimades et contrôles débridés débouchant parfois sur une fermeture administrative. « Nous ne nous opposerons jamais aux contrôles. Mais à la manière dont ont été insultés certains, nous nous devions de réagir », s’insurge le Président. « J’ai suivi ceux qui ont amené des preuves, pas ceux qui m’ont dit « ne dis pas que c’est moi ». » Pour que cessent ces débordements, il a fallu faire bouger beaucoup de monde, prendre en charge
